La nueva
ley que pretende regular el mercado de trabajo en Francia, la Ley Khomri, ha
despertado un profundo rechazo en la clase trabajadora y la juventud del estado
vecino. Dicha ley, análoga a nuestras reformas laborales, pretende abaratar el
despido, aumentar la jornada laboral con igual salario, reducir el pago a las
horas extras y demás medidas que pretenden aumentar la explotación y hacer
recaer en los y las asalariadas el peso de la crisis.
Ante esta
situación, el movimiento y las organizaciones estudiantiles francesas han
tenido la reacción proporcional a la magnitud del ataque. Dos huelgas estatales
el 17 y el 24 de marzo, así como la participación explícita en la próxima
huelga general del 31 del mismo mes.
Por su
parte, las fuerzas represivas del estado han hecho lo propio y han cargado
contra manifestaciones estudiantiles, se han producido detenciones y un largo
etcétera que por desgracia nos suenan familiares.
Desde la
Coordinadora Sindical Estudiantil queremos mostrar nuestra solidaridad y apoyo
con el movimiento y las organizaciones estudiantiles francesas que junto con el
movimiento obrero han salido a las calles a pelear contra un ataque radical a
las condiciones laborales. Creemos que esa convergencia para la lucha es un
poderoso ejemplo a seguir aquí en el estado español.
Además,
queremos mostrar nuestro rechazo, como ya hicimos con los sucesos del 17M en
euskalherria, a las detenciones, cargas y demás acciones represivas por parte
de la policía hacia los y las estudiantes.
¡¡OBRERXS Y ESTUDIANTES, UNIDXS Y ADELANTE!!
La nouvelle
loi qui prétend organiser la marché du travail en France, la Loi Khomri, a
provoqué un grand rejet dans la classe ouvrière et dans la jeunesse du pays
voisin. Cette loi, qui ressemble assez aux réformes du code du travail que nous
avons connu ici, a pour objetcif de baisser les coûts des licenciments,
d'augmenter le temps de travail sans augmenter le salaire, baisser le prix des
heures supplémentaires, ainsi que d'autres mesures qui n'ont pour objetcif que
d'augmenter l'exploitation et de faire payer la crise aux travailleurs et aux
travailleuses.
Face à
cette situation, le mouvement et les organisations étudiantes françaises sont
en train de réagir de manière conséquente compte tenu l'ampleur de l'agression.
Deux grèves nationales le 17 et 24 mars, ainsi que la participation explicite à
la prochaine grève générale du 31 mars.
En ce qui
concerne les forces repressives de l'état, elles ont fait de même et elles ont
chargées contre les manifestants étudiants, avec à la clé des arrestations et
un long etcetera qui malheureusement nous est également familier ici.
La Coordinadora Sindical Estudiantil veut
montrer sa solidarité et son appui au mouvement et aux organisations étudiantes
de France qui avec le mouvement ouvrier sont en train de se mobiliser pour
lutter contre une agression sans précédent sur les conditions de travail. Nous
pensons que cette convergence dans la lutte est un très bon exemple à suivre
ici dans l'Etat Espagnol.
De plus,
nous voulons également condamner, comme nous l'avons déjà fait le 17 mars
dernier avec les étudiants de Euskalherria, les arrestations, les charges et
autres actions de repression de la part de la police envers les étudiant(e)s.
OUVRIERS ET ÉTUDIANTS, UNIS ET EN AVANT!!
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